Dans Le Festin Nu (Naked Lunch), William Burroughs écrit des
confessions douloureuses sur sa vie de drogué et son homosexualité
frustrée. Ce roman a été rédigé pendant une époque sombre de la vie de
l'auteur, lorsqu’il vivait de came et d'autres substances dans un taudis
infect de Tanger.
En premier lieu, ce roman est un recueil de confessions incohérentes sans liens entre elles, pour la majorité écrites sous l'effet de drogues dures. Au delà de cette couverture insensée, l'auteur dénonce aussi les méfaits du capitalisme et la réduction des hommes à des objets économiques. Il dénonce aussi des applications de la science et de la génétique sur l'humain, notamment par des descriptions très détaillées, parfois malsaines, d'autopsies.
Il ne sert à rien de vouloir trouver un véritable sens à ce livre. Sa lecture est une expérience éprouvante, déroutante et surtout peu commune. Si l'on n'accepte pas parfois de se perdre dans les cauchemars paranoïdes de l'auteur, la lecture peut paraître laborieuse. Un petit conseil : il faut être de bonne disposition pour lire ce livre. Ne faites pas comme moi : ne le lisez pas le matin, sous peine d'être malade pour la journée...
En premier lieu, ce roman est un recueil de confessions incohérentes sans liens entre elles, pour la majorité écrites sous l'effet de drogues dures. Au delà de cette couverture insensée, l'auteur dénonce aussi les méfaits du capitalisme et la réduction des hommes à des objets économiques. Il dénonce aussi des applications de la science et de la génétique sur l'humain, notamment par des descriptions très détaillées, parfois malsaines, d'autopsies.
Il ne sert à rien de vouloir trouver un véritable sens à ce livre. Sa lecture est une expérience éprouvante, déroutante et surtout peu commune. Si l'on n'accepte pas parfois de se perdre dans les cauchemars paranoïdes de l'auteur, la lecture peut paraître laborieuse. Un petit conseil : il faut être de bonne disposition pour lire ce livre. Ne faites pas comme moi : ne le lisez pas le matin, sous peine d'être malade pour la journée...
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